Joyeuses fêtes avec Télécours Formation !

Réussir son année, c’est essentiel. Un vrai cadeau de Noël ! Il est encore temps de choisir en toute sécurité la Formule qui vous convient le mieux, toujours des nouveautés, plus de services et à des tarifs encore plus attractifs. Alors nhésitez plus pour profiter de la mise en place des choix variés concernant la classe de CM2 (qui finalise l’enseignement primaire et prépare aux changements intervenant en classe de 6^e) et, pour les étudiants, d’une série de cours d’histoire contemporaine en enseignement supérieur, bientôt complétée par des cours d’histoire ancienne (Antiquité grecque et romaine) courant 2018. Prenez également connaissance des nouvelles réformes en cours dans l’Education nationale : ce qui change et ce qui est maintenu. Et donnez votre avis sur des cahiers de vacances en ligne pour l’été…

SUIVRE TELECOURS FORMATION

Télécours Formation : l’avis des parents et le témoignage des étudiants.

Après le témoignage des inscrits (http://youtu.be/ZSTORoM0KHg), voici celui des parents sur http://youtu.be/1lNTQcn3GbI.
Si vous avez encore des hésitations ou des questionnements, n’hésitez pas à contacter Télécours Formation, à visiter le site, à consulter les FAQ, enfin à nous suivre sur YouTube et Facebook… 
 

Télécours Formation sur Facebook

Télécours Formation, c’est aussi sur Facebook. Retrouvez toute l’actualité sur l’éducation, la recherche, les examens... Soyez au courant des nouvelles découvertes. Plongez-vous dans l’histoire, l’archéologie, l’art, la littérature, les sciences, l’astronomie et lisez les articles qui vous intéressent… Suivez de nouvelles rubriques : une « question d’histoire » qui commente et explique un point précis d’histoire ; les « maux de mots » qui retracent le sens et l’origine d’un mot ou d’une expression, en égratignant au passage l’emploi souvent erroné qu’en font les médias. Reportez-vous également aux séries (de brèves publications illustrées avec présentation synthétique autour d’une thématique) ; pour la fin de l’année 2017, les cités gallo-romaines : présentation synthétique. Participez aux quiz. Prenez connaissance des concours d’écriture et participez-y… Commentez, agissez, réagissez et faites part de vos coups de cœur. Vous constaterez également que Télécours Formation possède une assise internationale et des compétences reconnues.

Répondez également au sondage pour mieux prendre en compte vos besoins et   y répondre efficacement  .

https://www.facebook.com/pages/T%C3%A9l%C3%A9cours-Formation/1565350990358274

TELECOURS FORMATION : QUOI DE NEUF ?

Les nouveautés sur Télécours Formation : l’enseignement de   l’histoire pour le niveau supérieur   (L1, L2, L3 et M1, M2)

Pour 2017 et 2018, des Formules spécifiquement adaptées pour les niveaux supérieurs abordant les 4 grandes périodes en Histoire (histoire ancienne, histoire médiévale, histoire moderne et histoire contemporaine) se mettront en place progressivement. Les Formules pourront être choisies de manière indépendante ou combinée. Elles offriront également une thématique plus générale (par exemple, le monde au XVI e siècle) ou plus spécialisée (par exemple, l’entre-deux-guerres en France, aspects politiques et culturels, déjà disponible). En histoire ancienne, elles pourront même traiter à la fois dans un seul cours un sujet de l’histoire grecque et un sujet de l’histoire romaine (par exemple, la Sicile grecque et romaine, bientôt en 2018 sur Télécours Formation).

Corrections sur devis pour les thèses, mémoires, rapports de stage… grâce à Télécours Formation :

Aide à la rédaction et corrections à la carte pour vos thèses, mémoires ou encore rapports de stage. Selon la quantité de pages et le nombre d’erreurs, un devis adapté est présenté à partir duquel une Formule spécifique et personnalisée est créée. La qualité de l’orthographe, si importante, constitue de plus en plus un outil de sélection supplémentaire et peut vous coûter des points précieux lors de votre évaluation. Afin d’éviter les fautes de syntaxe et d’orthographe, mais encore les erreurs de présentation, le choix d’un plan bancal ou les écueils d’un texte mal rédigé, Télécours Formation vous offre un service sur mesure.

Histoire romaine pour l’enseignement supérieur :

Un article de fond, très documenté, est désormais disponible dans la rubrique « Cours à la carte » à propos de la guerre sociale dite encore guerre des alliés (ou guerre marsique) qui sévit sur la péninsule italienne entre 91-88 av. J.-C. Une longue analyse est consacrée au contexte et aux origines de ce conflit.

Encore des nouveautés sur   Télécours Formation   : le niveau CM2

La classe de CM2 sanctionne les acquis du Cycle 3 (fin du niveau primaire) et prépare à la classe de 6^e (début du secondaire). Le changement est souvent déroutant, aussi est-il essentiel pour l’élève d’avoir une bonne base. Les Formules proposées par Télécours Formation, dont certaines sont déjà accessibles, sont multiples, offrant un large choix tant en termes de tarifs (toujours modérés) qu’en termes de format et de contenus spécifiques. Les options offertes sont particulièrement adaptées aux difficultés ou besoins de vos enfants. Par exemple, il sera possible de choisir une formule en fonction de l’avancée du programme en cours (1^er, 2^e ou 3^e trimestre pour toutes les matières) ou encore en fonction de la matière concernée (français, mathématiques…) ; il sera également possible de combiner les deux (par exemple le programme de français du 2^e trimestre). Les Formules allégées seront toujours disponibles (par exemple : l’orthographe, ou la conjugaison, ou le nombre et les calculs ou encore le vivant…). Les cours sont établis de manière très structurée, facile d’accès avec une présentation agréable et ludique. Un petit personnage sympathique servira de guide et rappellera quelques points essentiels, etc. L’image et le son complèteront le texte. Pour mémoire, les matières étudiées en CM2 sont : le français, les mathématiques, les sciences, l’histoire-géographie, l’Enseignement Moral et Civique (qui se substitue à l’ancienne l’instruction civique et morale), l’histoire des arts et l’anglais.

Le focus sur Télécours Formation : l’importance de   la classe de 4^e   au collège

Etape indispensable mais pas toujours bien réussie, la classe de 4^e pose de nombreuses difficultés à la plupart des élèves, tant par le contenu des programmes que les méthodes de travail. C’est pourquoi plusieurs Formules ont été réalisées pour permettre à chacun de franchir ce palier avec succès. Ainsi, à titre d’exemple, chaque cours se termine par un encadré synthétique rappelant les points essentiels à connaître.  

Télécours Formation : des prix imbattables, une qualité incontestable

Dans un souci constant de rendre accessible à tous le savoir, la culture et l’éducation, de nouvelles Formules à prix imbattables ont fait leur apparition depuis le début de l’année 2014. S’agissant des tarifs, une baisse générale a eu lieu et se poursuit : notre cadeau pour vous ! Choisissez selon la matière, le niveau et la thématique. Vous pouvez aussi affiner votre recherche en entrant des mots clés pour des cours à la carte. C’est facile et rapide. Quant aux Formules proposées, elles sont d’un rapport qualité/prix sans équivalent, pour une moyenne minimum de 3 ou 4 heures par semaine, soit moins de 10 euros de l’heure et souvent autour de 8 euros pour un niveau bac avec un suivi personnalisé permanent. Le soutien scolaire dans une Formule classique est illimité et sans supplément ! N’oubliez pas non plus les Modules qui permettent une souplesse sans équivalent et une formation pouvant se faire sur le long terme à prix très modéré et sans supplément.

L’ACTUALITE EDUCATIVE

Rentrée 2017/2018 : Ce qui change et ce qui est maintenu : les 4 mesures du gouvernement

- Dédoubler les classes de CP en REP+
D’après le Ministère, « à la rentrée 2017, le choix est de concentrer l'effort là où c'est le plus nécessaire : dans les classes de CP des REP+. L'objectif global dans lequel s'inscrit cette mesure est "100% de réussite en CP" : garantir, pour chaque élève, l'acquisition des savoirs fondamentaux - lire, écrire, compter, respecter autrui. À la rentrée 2018, les classes de CP en REP et de CE1 en REP+ et REP seront également dédoublées. »

- Adapter les rythmes scolaires
Le retour à la semaine de 4 jours est désormais possible mais pas obligatoire.
« Là où les communautés éducatives et les communes sont satisfaites de l'organisation actuelle, elles pourront tout à fait continuer à fonctionner selon les mêmes modalités.
Là où émerge un consensus local entre conseils d'école, municipalité et Inspecteur d'académie en faveur d'une autre organisation, une dérogation aux cadres existants sera possible. Ces évolutions pourront intervenir à la rentrée 2018. Là où les acteurs sont prêts, des expérimentations pourront avoir lieu dès la rentrée prochaine. »

- Instaurer le programme «devoirs faits»
Ce dispositif «sera proposé aux élèves, sur le principe du volontariat. Il sera gratuit pour les familles. Son déploiement dans les écoles et les collèges sera progressif sur les rentrées 2018, 2019 et 2020» selon le Ministère. L’encadrement sera confié aux enseignants volontaires (rémunérés en heures supplémentaires), aux étudiants, aux retraités, à ceux qui effectuent leur service civique ainsi qu’à la réserve citoyenne de l’Education nationale

- Aménager la réforme du collège
Cet aménagement maintient la réforme antérieure mais, fait notable, rétablit les classes bilangues, les sections européennes et un véritable enseignement de latin et de grec.

L’écriture inclusive ne sera pas autorisée à l’école

Certains ont peut-être déjà vu des textes pratiquant l’écriture inclusive, qui consiste à tout mettre à la fois au masculin et au féminin à l’aide d’une notation spécifique faisant intervenir des points. Voici un exemple :

Les candidat.e.s au bac seront des futur.e.s citoyen.ne.s
Il faut comprendre : Les candidats et les candidates au bac seront des futurs citoyens et des futures citoyennes.

Notons que certains mots n’existant pas au féminin, toutes les inventions sont permises : pompier/pompière ou encore docteur/docteure/doctoresse ou même auteur/auteure/autoresse/autrice !

Pourquoi cette lubie ? Cette démarche répond à une volonté de combattre les stéréotypes sexistes en s’attaquant à la langue même. Ainsi la règle de grammaire qui veut qu’au pluriel, le genre masculin l’emporte sur le genre féminin est remis en cause, de même que l’acception générale du mot «Homme» (par exemple dans l’expression «les droits de l’Homme») pour exprimer à la fois les hommes et les femmes ; l’écriture inclusive préconise d’employer le terme «humain».

Il ne s’agit pas tant d’une écriture, cependant, que d’une notation. A moins de réinterpréter, il n’est pas recommandé de lire un texte écrit en écriture inclusive. Au reste, des formes littéraires (notamment la poésie) ne le supporteraient pas. On ne lit pas une œuvre comme on énonce une URL d’un site Internet !

Avec bon sens, l’apprentissage de l'écriture inclusive en classe n’est pas retenue. Cependant, certains manuels scolaires (par exemple un manuel pour CE2 chez Hathier) n’ont pas hésité à adopter la méthode de l’écriture inclusive. S’il est vrai que les Editeurs ont toute liberté à publier, ils doivent néanmoins faire preuve de responsabilité afin de ne pas ajouter de la confusion dans les apprentissages qui sont de plus en plus difficilement assimilés à l’école. La cause pour la défense d’une justice égalitaire entre hommes et femmes, garçons et filles ne doit ni être un phénomène de mode ni une opération marketing mais s’attaquer aux causes réelles. Certains mots de notre langue sont masculins et d’autres féminins ; dans certaines langues (anglais, allemand), il faut ajouter aussi le genre neutre. En poussant la démarche à son comble, on proposera bientôt le double genre (un/une maison, un/une toit). L’étymologie, l’histoire de la langue, ses racines ne peuvent être gommées d’une simple décision idéologique. La féminisation des noms de métiers ou de fonctions se fera, plus ou moins rapidement selon l’usage et la pratique, sans que cela ne nécessite l’adoption de l’écriture inclusive qui doit se limiter à une stricte pratique de notation, voire d’abréviation à usage personnel ou interne.

En définitive, l’écriture inclusive participe à sa manière au phénomène de créativité lié au langage et elle doit trouver son espace de liberté, mais elle ne saurait s’imposer dans l’enseignement du français et l’apprentissage de l’écriture et de la lecture.

Sujet polémique : le scandale du prédicat

Plus les résultats sont décevants et les difficultés en français s’accroissent chez les élèves et plus fleurissent des idées de simplification simplistes qui aggravent et accélèrent cette dégradation. Le surgissement du prédicat en est une de plus (une de trop ?).

Mais qu’est-ce donc que le prédicat, censé remplacer la notion de complément jusqu’au niveau de la 5^e ? Le prédicat c’est, pour simplifier, la partie d’une proposition qui compose l’information verbale principale ; il regroupe donc tous les éléments grammaticaux qui dépendent de ce verbe (adverbe, COD, COI, mais encore l’attribut du sujet, etc.).

On l’aura compris à la simple définition, il sera d’autant plus difficile pour l’élève de comprendre ce qu’est un prédicat, de l’identifier et d’en déterminer la logique. Or c’est bien en vue d’une simplification que cette proposition absurde a été émise afin de remplacer le complément.

Il semble frapper au coin du bon sens qu’un élève se sentira toujours plus à l’aise avec un COD ou un COI qu’un prédicat. Pour reconnaître le COD, il sait qu’après le verbe, il lui suffit de poser la question « quoi ? » ou « qui ? » et pour un COI, les questions « de quoi ? de qui ? » ou « à quoi ? à qui ? ».

Il sera toujours plus aisé à l’élève de comprendre ce qu’est un complément circonstanciel lorsqu’il rencontre un adverbe de temps, de lieu, de manière… Il aura une certaine logique pour le guider. Mais que pourrait-il bien faire d’un prédicat qui recoupe à lui seul des réalités différentes ?

Les esprits appauvris dans lesquels germent de telles idées partent d’un principe erroné et dévoyé : il faut tout simplifier, au risque de faire, ô paradoxe, encore plus compliqué ! Ils n’ont aucune prise avec la réalité, ne savent pas comment pensent, réfléchissent, apprennent un enfant et un adolescent. Apprendre ce qu’est un complément non plus au CP/CE1 mais seulement en 5^e, c’est comme si l’on reculait les programmes de 6 ans tout en développant des apprentissages plus abscons. Apprendre qu’une fonction est un prédicat puis désapprendre cela pour préciser que désormais c’est un COD ou un COI par exemple, c’est le meilleur moyen de renforcer l’échec scolaire !

A-t-on vu les Allemands, dont la population non-germanophone a considérablement augmenté ces dernières années, édicter de nouvelles lois et de nouveaux programmes destinés à simplifier leur grammaire en refusant que le verbe des subordonnées se situe à la fin mais en l’obligeant à garder la 2^e position qu’il a dans une principale ? Evidemment non !

Revenons à la base de la structure d’une phrase : sujet / verbe / complément(s). C’est encore ce que les élèves identifient et comprennent le mieux !

Alors à quand le petit génie qui proposera d’appliquer le programme de la 3^e section de maternelle à l’entrée au collège pour la classe de 6^e ?

Une réforme de l’orthographe appliquée   depuis la Rentrée 2016/2017  

Le ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a évoqué une réforme de l’orthographe qui devait être appliquée dès la Rentrée 2016. Cependant, tout en restant vigilant, évitons les emballements dans un sens ou un autre. L’ancien gouvernement a rappelé qu’il « ne revient pas au ministère de l’Éducation nationale de déterminer les règles en vigueur dans la langue française. Ce travail revient à l’Académie française, depuis Richelieu, qui assigna pour principale fonction à cette instance de donner des règles certaines à notre langue. »

« A la rentrée 2016, les manuels scolaires pourront faire référence (...) aux rectifications de l’orthographe adoptées en 1990 par le conseil supérieur de la langue française et approuvées par l’Académie française. Ces rectifications touchent environ 2400 mots. Néanmoins, elles ne sauraient être imposées, les deux orthographes demeurent donc justes. »

Il s’agit en fait de faire appliquer à l’ensemble des manuels scolaires la réforme simplificatrice de l’orthographe de 1990. Notons que cette orthographe réformée était déjà présente, au moins en partie, dans plusieurs manuels et dans les dispositifs de corrections automatiques des logiciels d’ordinateurs. L’ancienne orthographe sera également maintenue. Il serait d’ailleurs intéressant de lister les grandes langues de la planète qui acceptent concurremment plusieurs orthographes !

Quels seront les principaux changements ? La question de la suppression de l’accent circonflexe a fait couler beaucoup d’encre, ou, plutôt, enflammé les réseaux sociaux. Ceci témoigne au moins de l’attachement profond de nos concitoyens (mais pas seulement) à la langue française. En réalité cette suppression ne sera pas totale (ce serait un non-sens) ni systématique (puisque les deux orthographes seront admises) : l’accent circonflexe ne sera plus obligatoire sur les lettres « i « et « u », sauf dans certains cas nécessaires (marque d’une terminaison verbale [«qu'il fût», « qu’il eût »…], noms propres, dans le cas d’une distinction de sens [entre homophones comme « tâche » et « tache » par exemple]). Il est évident que la suppression totale de l’accent circonflexe n’est pas soutenable dans la langue française puisqu’il s’agit d’un signe diacritique, c’est-à-dire qu’il renseigne à la fois sur le sens et la prononciation du mot.

Le trait d’union sera supprimé des mots composés. C’est déjà généralement le cas pour plusieurs mots : plate-forme souvent écrit plateforme désormais. « Porte-monnaie » donnera « portemonnaie », « chauve-souris » deviendra « chauvesouris » ou encore « week-end » fera « weekend ». Cette simplification supprimera les difficultés liées aux pluriels des mots composés !

Le « ph » pourra être remplacé par un simple « f » : « nénuphar » pourra donc s’écrire « nénufar ». Le mot « oignon » pourra s’écrire « ognon ». Dans cette optique, les acteurs de la réforme souhaitent développer une orthographe intuitive et phonétique, ce qui, par ailleurs, semble donner crédit au langage SMS qui applique une telle écriture et la développe depuis longtemps, indépendamment de la correction orthographique, réformée ou non. Il semble donc dangereux de suivre cette pente et mieux vaudrait s’en tenir à des limites. Dans le langage SMS « ça » devient souvent « sa », par exemple. Mais le risque est de développer une mémoire à la fois gestuelle et visuelle d’une orthographe intuitive et phonétique qui devient une norme et se substitue à la bonne orthographe.

L’orthographe grammaticale est aussi concernée et la réforme est déjà appliquée. Par exemple, lorsque dû, pu, voulu, fait et laissé sont suivis d’un infinitif, le participe passé ne s’accorde pas et reste invariable.

Néanmoins, la position de l’Académie en 2016 n’est pas la même que celle de 1990. Dans son communiqué, l’Académie dégage toute responsabilité dans l’origine de la réforme de l’orthographe. Sa secrétaire perpétuelle, Madame Hélène Carrère d’Encausse pense que « plus que la maîtrise de l'orthographe, défaillante, c'est la connaissance même des structures de la langue et des règles élémentaires de la grammaire qui fait complètement défaut à un nombre croissant d'élèves». Pour valider cette idée, il nous semble que la simplification tous azimuts de l’orthographe est une solution de facilité et inefficace pour contrer l’échec scolaire et qu’elle évite de s’attaquer aux vrais problèmes. Sur le terrain, la baisse du niveau n’a cessé de s’accentuer alors que la réforme est tout de même appliquée depuis 1990, sinon complètement, du moins assez largement. Le résultat demeure bien décevant : des étudiants de 3^e, 4^e ou 5^e année et des ingénieurs souffrant de graves carences orthographiques !

Un diplôme national du brevet plus complet à la fin de la classe de 3e

Cela se traduit non seulement par un allongement du temps des épreuves et l’importance accordée au contrôle continu sans pour autant minimiser le contrôle final, mais aussi par de nouvelles épreuves et un diplôme célébré par une cérémonie.

En effet, le DNB comprend depuis 2016/2017 de nouvelles épreuves de physique-chimie, de sciences de la vie et de la Terre (SVT) et de technologie.

Les épreuves écrites se feront en 8 heures (au lieu de 7 heures précédemment).

Le contrôle final comportera 2 épreuves écrites et 1 épreuve orale.

Le contrôle continu comptera pour 400 points distribués comme suit :
« Chacun des 8 champs d’apprentissage du socle commun pris en compte apporte un nombre de points à l’élève, selon le niveau de maitrise arrêté lors du conseil de classe du 3e trimestre de la classe de 3^e » : maîtrise insuffisante (seulement 10 points), maîtrise fragile (25 points), maîtrise satisfaisante (40 points) et très bonne maîtrise ( plus de 50 points).
L’élève pourra bénéficier d’un bonus grâce à un enseignement de complément ou la langue des signes française (LSF) mais pour cela il faudra que les objectifs du programme soient au minimum atteints (10 points) ou dépassés (20 points).

Le contrôle final comptera pour 300 points distribués comme suit :
Le français, l’histoire-géographie et l’enseignement moral et civique sont évalués sur 100 points, les mathématiques, les SVT, la physique-chimie et la technologie sont également évaluées sur 100 points et enfin l’épreuve orale est elle aussi évaluée sur 100 points.

Pour être reçu au DNB, il faut obtenir 350/700 points. La mention « assez bien » est attribuée pour un total de plus de 420 points. La mention « bien » est attribuée pour un total de plus de 490 points et enfin la mention « très bien » est attribuée pour un total de plus de 560 points.

Cet effort mérite bien une « cérémonie républicaine de remise des diplômes » qui mettra à l’honneur les élèves.

Le nouveau livret scolaire :

Depuis la rentrée 2016, les élèves n’ont qu’un seul document au lieu du livret de compétences + le livret personnel de compétences national (LPC). Il constitue un modèle national dont le format demeure le même du CP à la classe de 3^e.

On y trouve, à la fin de chaque trimestre, au verso, les appréciations générales et les projets qui auront été menés ; au recto, le niveau de l’élève selon chaque matière.

Un bilan global, sous forme de fiche, complète le dispositif, à la fin de chaque cycle (CE2, 6^e, 3^e). Il est articulé (selon les degrés de maîtrise : insuffisante, fragile, satisfaisante ou très bonne) autour des 8 champs d’apprentissage du socle :
- Langue française à l’oral et à l’écrit
- Langues étrangères et régionales
- Langages mathématiques, scientifiques et informatiques
- Langages des arts et du corps
- Méthodes et outils pour apprendre
- Formation de la personne et du citoyen
- Systèmes naturels et systèmes techniques
- Représentations du monde et activité humaine

Ainsi les parents et les élèves ont à leur disposition un dossier constitué d’une trentaine de bilans qui sanctionne la fin de la scolarité obligatoire.

     TELECOURS FORMATION : LE BON CHOIX   

Les produits phare sur Télécours Formation : des Formules à prix mini

Une véritable aubaine : une Formule dite allégée. Et d’abord par son coût, environ 40% moins chère que la Formule classique ! Ne vous frottez pas les yeux, vous avez bien lu, et ce pour 6 ou 10 heures de soutien scolaire. Des cours, exercices d’application et leurs corrigés et un devoir (avec corrigé-type et commentaire audio personnalisé), plus ciblés, complètent ce dispositif pourtant déjà très avantageux. Par exemple, vous souhaitez compenser une faiblesse en orthographe, en conjugaison, en vocabulaire et rédaction ou encore en étude littéraire et explication de texte, il suffit de choisir la bonne Formule allégée qui cible votre besoin. Vous allez passer le bac de français, la Formule allégée avec ses 10 heures de soutien vous propose différentes spécificités selon les genres étudiés (roman et ses personnages, théâtre, réécriture, textes argumentatifs…). Et bien d’autres nouveautés vous attendront sur Télécours Formation.

Les valeurs sures de Télécours Formation…

- Les Cours à la carte  sont disponibles tous les jours et toute l’année, même en juillet et en août, 24h / 24, 7 jours / 7. Besoin d’un cours complet et synthétique ? D’une fiche de révision pour le bac ? De matières pour un devoir ou un exposé ? La rubrique « Cours à la carte » est faite pour vous. Rédigés par un professionnel, ces cours offrent des fiches de révisions pour le bac ou sont suivis d’un questionnaire (il suffit de cliquer sur la question pour faire apparaître la réponse). Déjà plusieurs matières à l’honneur : histoire, géographie, français, philosophie, mathématique, SVT ou encore droit et SES. S’y ajoutent des ressources pour l’Enseignement supérieur sous forme d’article spécialisé.

- Les Formules, dans leurs formats classiques ou allégées, se font sur inscription. Elles commencent dès le 1^er septembre et s’achèvent le 30 juin. Elles sont particulièrement adaptées pour suivre un enseignement complet ou un soutien scolaire efficace. Pour une déscolarisation partielle ou totale ou pour passer le bac en candidat libre, la Formule reste l’outil privilégiée pour votre réussite. Pensez-y si vous ou vos enfants sont hospitalisés ou s’ils veulent suivre des cours à distance. La Formule est également un outil efficace (et plébiscité) pour les élèves en Sport Etudes qui ont un programme chargé et des horaires spécifiques, ou pour toutes les situations qui demandent des déplacements fréquents et prolongés, notamment à l'étranger (personnel des Armées, etc.).

- Les Modules qui jouent le rôle de formation « clé en main » commencent à partir du 1^er septembre (il n’y a pas de suivi lors des mois de juillet et août) sur 270 jours maximum tandis que les Modules 2 peuvent s’étendre sur une période de 540 jours maximum. Ce sont des formations particulièrement adaptées pour une remise à niveau, une reconversion professionnelle ou la préparation d’un concours. Le Module « SOCIETAS », par exemple, vous permettra de préparer les concours AS, AP, IFSI et paramédicaux (grandes thématiques, français, mathématiques et préparation aux tests psychotechniques).

Les points forts de Télécours Formation

Télécours Formation repose sur deux piliers fondamentaux : une qualité de service irréprochable (qui passe bien sûr par la qualité du contenu, mais aussi par de grandes compétences pédagogiques et le suivi personnalisé de chacun) ; des tarifs attractifs qui sont d’autant plus avantageux dans un contexte maussade, en particulier dans le domaine du soutien scolaire et des cours à domicile. Mieux : plus le besoin de soutien est important, moins le tarif est élevé, puisque le soutien peut être illimité selon les Formules choisies, à partir d’un tarif de départ.

Pas de mauvaises surprises, les cours sont élaborés par un professionnel qui, en outre, est toujours présent. Réactivité, conseils, aide, accompagnement constituent des atouts nécessaires à l’apprentissage et au progrès. Alors que le cours à domicile traditionnel ne dure qu’une heure pour un coût qui varie de 25 à 40 euros selon les niveaux et les régions, sur Télécours Formation, pour moins de 10 euros pour un niveau bac, l’inscrit à une Formule dispose, non seulement du soutien scolaire et de ses heures de cours, mais aussi d’exercices et peut s’entraîner avec un certain nombre de devoirs. Il peut poser une question à l’enseignant en obtenant une réponse rapide sans devoir attendre son retour la semaine d’après. Enfin l’outil internet permet de développer sa capacité d’autonomie, absolument nécessaire pour réussir dans les études post-bac (université, grandes écoles, écoles préparatoires…). Quant aux Cours à la carte, ce ne sont pas des notes prises par des étudiants avec les fautes d’orthographe et les contresens que l’on trouve parfois trop souvent sur la toile, mais des fiches pédagogiques conçues par un enseignant compétent et diplômé.

Des bilans seront élaborés pour mesurer les progrès accomplis et cibler les difficultés. Par exemple, si vous êtes inscrit à une Formule, vous pouvez bénéficier d’un soutien scolaire total, durant toute la période du format auquel vous avez souscrit, sans compter les heures.

En définitive Télécours Formation vous propose plus de services, d’une qualité supérieure et à moindre coût par rapport aux cours particuliers classiques et aux traditionnels enseignements à distance, combinant les points forts des deux approches.  

TELECOURS FORMATION ET VOUS

Télécours Formation à votre écoute…

Télécours Formation met un point d’honneur à rester à l’écoute non seulement des inscrits, mais encore des visiteurs qui posent des questions ou font part de leurs attentes. Par exemple, la Formule de 30 jours « spécial Bac » a été mise en place pour répondre à une urgence. N’hésitez plus à poser vos questions. Réagissez.

Télécours Formation souhaite proposer dans les prochaines années des cahiers de vacances en ligne pour l’été, plus complets et plus variés que les traditionnels formats papier, pour vous aider à maintenir ou améliorer votre niveau ou alors pour rattraper votre retard. Que pensez-vous de ce nouveau service ? Vous serait-il utile ?

Vous pouvez faire connaître vos attentes, vos interrogations ou vos commentaires en utilisant le formulaire dans la rubrique « Contact ». Et suivez Télécours Formation sur Facebook.